Debout la République 11ème Circonscription du Pas de Calais - -Hénin Beaumont - Carvin

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Créé le : 27/07/2008 15:06
Modifié : 18/03/2012 16:44

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Europe : la tentation fédéraliste

14/09/2010 20:23

Europe : la tentation fédéraliste


L’ambigüité du projet européen s’est encore manifestée la semaine dernière avec la déclaration du parlement européen contre les expulsions des Roms ou l’accord des ministres des finances de l’Union Européenne pour donner un droit de regard à l’Europe sur les budgets nationaux.
La marche forcée vers le fédéralisme
Petit à petit, le projet européen devient de plus en plus fédéraliste. Dans les années 1970, la Commission Européenne fut chargée de négocier les accords commerciaux dans le cadre du GATT, l’ancêtre de l’OMC. Depuis, la dérive est progressive avec quelques phases d’accélération représentées par les traitées (Acte Unique, Maastricht, Lisbonne…). Au fur et à mesure, malgré les dénégations des Etats, l’Europe se rapproche toujours plus d’un Etat fédéral.
Toute l’ambiguïté du projet européen se retrouve dans la résolution votée par le parlement européen demandant à la France de suspendre l’expulsion des Roms. Il est proprement affligeant de voir ces parlementaires passer du temps pour voter des résolutions parfaitement inutiles et qui n’auront aucune conséquence pratique. Cela a néanmoins l’intérêt de montrer la tentation fédéraliste d’institutions européennes toujours prêtes à étendre leur pouvoir.
On se souvient des cris d’horreurs de nombreux parlementaires et ministres quand il avait été évoqué que l’Europe pourrait gagner un droit de regard sur les budgets nationaux, y compris au sein de la majorité. Bien sûr, pour l’instant, nous ne cédons pas grand-chose, mais la France vient de mettre un doigt dans l’engrenage d’un contrôle de son budget et tout le monde sait bien qu’après cette première mise sous tutelle, viendront d’autres propositions de plus en plus contraignantes…
Un gouvernement totalement incohérent
Le plus triste dans ces épisodes est de constater l’impuissance de ce gouvernement « crocodile » « grande gueule, petits bras », pour reprendre l’expression de NDA. D’une part, il proteste fortement (et justement) contre la résolution du parlement, après avoir protesté contre les projets de la commission de Bruxelles sur le contrôle des budgets, mais de l’autre, il cède, encore et toujours, comme Nicolas Sarkozy l’avait fait en acceptant le traité de Lisbonne.
Et quel meilleur exemple que les expulsions de Roms d’ailleurs ! La France les renvoie (parfois en leur donnant de l’argent) tout en sachant que les traités européens leur donnent la liberté de circulation… Comme d’habitude, le gouvernement prend des postures complètement décalées avec la réalité de ce qu’il laisse faire, n’osant jamais remettre véritablement en cause ce que pourtant il dénonce. En toute logique, Nicolas Sarkozy devrait demander à sortir de Schengen.
En Europe, la lente marche vers le fédéralisme continue inexorablement. Cela n’a strictement rien apporté aux peuples européens, bien au contraire. Mais à trop ignorer les peuples, ces derniers finiront par se rebeller. Et la France a toutes les chances d’être parmi les premiers…
Laurent Pinsolle





L'indépendance ou l'esclavage !

14/09/2010 20:06

L'indépendance ou l'esclavage !


Dimanche à Dourdan, il s’est passé quelque chose. Jamais je n’avais ressenti un tel enthousiasme de la part des militants et des adhérents. Jamais Debout la République n’avait accueilli pour ses Universités autant de monde. Plus de 500 personnes le dimanche pour mon discours. Beaucoup de jeunes au point d’en surprendre la presse.  
En tout cas, bien plus de monde que pour les Universités de Rentrée de la plupart des autres partis politiques, qui bénéficient pourtant d'une meilleure exposition médiatique. 
Il y avait un fort dénominateur commun à tous ceux qui avaient fait le déplacement à Dourdan. D'une part, la lucidité sur l’incapacité des partis du système UMPS à répondre à la crise profonde de notre pays. D'autre part, la conviction qu’il faut désormais remettre en cause le cadre européen et mondialiste qui corsète la France et étouffe les forces vives de notre pays et empêche de résoudre ses problèmes. Tous étaient convaincus quel que soit leur parcours politique passé que le préalable à tout était pour la France de reprendre en main son destin.
Lorsque j’ai prononcé mon discours, c'est quand j'ai abordé la question fondamentale "l’indépendance de la France ou l’esclavage des français" que la salle a le plus vibré. Cela est bien normal car c’est la question centrale.
Si les Français ne veulent pas à petit feu devenir les esclaves d’une mondialisation inhumaine, ils doivent restaurer l’indépendance du pays. Pour sortir de la pire régression économique et sociale depuis la libération, pour rétablir l’ordre public, pour redonner un espoir à la jeunesse et une dignité aux travailleurs, il faut aller à l’essentiel. 
Rien ne se fera - comme j’ai voulu l’expliquer dans mon discours - avec ceux qui ont bâti cette cage dans laquelle ils ont enfermé le peuple. Tout se fera avec justement les Français, en osant les consulter par référendum sur les enjeux clés du redressement du pays.
5 référendums, oui, pour : rétablir l’égalité fiscale, réformer la Justice pour la rendre à nouveau au nom du peuple, redresser l’école publique, contrôler nos frontières et, bien sûr, retrouver le pouvoir de battre monnaie pour créer de l’emploi.
J’invite toutes celles et tous ceux qui s’interrogent sur ma démarche à lire mon discours de dimanche.
Il traduit, je le crois, le plus fidèlement possible le fond de ma pensée.
Il va - j’en suis convaincu - au cœur des problèmes du pays.
Il invite au rassemblement de tous ceux qui aiment autant la République que la France.
NDA





La nation, clé de la cohésion sociale

13/09/2010 09:07

La nation, clé de la cohésion sociale


En 1965, le Général de Gaulle affirmait que « le laissez faire, le laissez passer, appliqué à l’économie, a souvent donné au développement une profonde impulsion, mais on ne saurait méconnaître qu’il en est résulté beaucoup de rudes secousses et une somme énorme d’injustices ». Voici le résultat de la globalisation néolibérale, ce qui amène à se demander si la nation n’est pas la seule et unique clé de la cohésion sociale.
La nation dans l’inconscient collectif
La grande difficulté pour les gaullistes militants, nous qui sommes très attachés à notre patrie, est de saisir que cet attachement n’est pas aussi grand chez nos compatriotes.  En effet, certains associent forcément la nation avec le nationalisme, la haine de l’autre, voir même la guerre. Et cette petite musique, conséquence pas totalement illogique des massacres des deux grandes guerres mondiales, a contribué à donner une image négative de la nation et l’attachement à la patrie. Elles seraient forcément teintées d’hostilité à l’égard de l’étranger et de repli sur soi. En fait, cette opinion confond le nationalisme, qui peut être « la haine des autres », et le patriotisme, qui est « l’amour des siens » pour reprendre les mots du Général de Gaulle.
Et par opposition à l’Europe, la nation peut également être vue comme une échelle trop petite pour pouvoir agir sur le cours des choses, par rapport aux géants que sont les Etats-Unis, la Chine ou l’Inde. La nation peut paraître une échelle où il n’est plus possible de défendre quoique ce soit, un passeport pour n’être qu’une barque ballotée par les mouvements de l’océan de la globalisation économique. Cette thèse conduit presque immanquablement à la conviction que seule l’échelle européenne est capable de nous permettre d’agir sur notre futur alors que se recroqueviller sur notre petite nation nous condamnerait à la passivité.
Passons sur les multiples exemples qui montrent que des pays parfois plus petits que le nôtre peuvent parfaitement conserver une politique totalement autonome, ce qui disqualifie la thèse des déclinologues nationaux. La nation, c’est aussi des choses merveilleuses. C’est la deuxième famille de tous les Français, le lieu de la solidarité (par définition nationale). C’est au sein de la nation que nous partageons l’ensemble de nos risques de santé, que nous finançons les retraites bien méritées, le chômage des personnes qui ont perdu leur emploi. La nation, c’est la cellule même de la cohésion sociale.
Le supranational, poison de la cohésion sociale
Par opposition, comme le souligne Frédéric Lordon, « en appeler au gouvernement mondial est le plus sûr moyen d’avoir la paix –entendre – pas de gouvernement du tout », « la mondialisation a précisément eu pour effet de redéployer les marchés à l’échelle mondiale, c’est-à-dire dans un environnement de faible densité institutionnelle ».  La globalisation néolibérale émascule les Etats, les privant de contrôle aux frontières, qui devraient forcément être ouvertes, empêchant toute action sur les mouvements de personnes ou de capitaux. Elle prive également les gouvernements de la politique monétaire, qui doit être confiée à des banquiers centraux indépendants de toute pression démocratiqque. Parallèlement, on confie le pouvoir à des instances supranationales qui défendent bec et ongle cette orientation, quelque soit l’opinion des peuples.
Mais le bilan des dernières années montre bien que cette évolution ne profite qu’à une petite minorité : les multinationales, dont les profits ont atteint une part historique de la richesse produite, et les plus riches, dont les revenus et le patrimoine ont retrouvé des sommets inédits depuis 1929. Joseph Stiglitz montre bien dans son dernier livre que si le PIB / habitant des Etats-Unis a progressé de 10% de 2000 à 2008, le revenu médian (séparant les 50% qui gagne le plus des 50% gagnant le moins) a baissé de 4% dans la même période. En clair, la globalisation néolibérale a abouti à une situation où une petite minorité peut s’enrichir tellement que cela arrive à cacher dans les moyennes statistiques l’appauvrissement de la majorité.
C’est bien l’abaissement des frontières qui permet cette explosion des inégalités. En effet, c’est l’absence de frontières qui permet aux plus riches de partir vers ce que l’on appelle bien improprement des « paradis fiscaux ». C’est ce qui fait qu’une multinationale ne se soucie plus du pouvoir d’achat de ses salariés, qui ne sont plus qu’un coût à minimiser dans une chaîne de production globalisée. Il n’y a aucune cohésion sociale au niveau mondial ou supranational, seulement une concurrence libre et non faussée qui ressemble fort à une loi de la jungle, à une loi du plus fort qui favorise le moins disant salarial, social ou environnemental.
Certains pourraient y voir une forme de complot des élites qui exploiteraient le peuple. Outre le fait que cette théorie du complot n’est pas forcément très crédible pour une majorité de la population, on peut y voir d’autres facteurs, comme le souligne bien Joseph Stiglitz. Les élites vivent dans une bulle qui tire profit de cette globalisation néolibérale. Pensant généralement être beaucoup plus proches de la moyenne qu’elles ne le sont, les élites finissent par penser sincèrement que le système profite au plus grand nombre, même s’il provoque des ajustements parfois terribles pour certains. Elles ont malheureusement acquis la conviction profonde et le plus souvent sincère que cette globalisation néolibérale sert l’intérêt général et que, de toutes les façons, il n’y a pas d’alternative.
La nation, seul cadre possible pour l’intérêt général et la cohésion sociale
Le message que nous devons passer est que le retour à la nation est aujourd’hui le principal moyen pour à nouveau défendre l’intérêt général, la solidarité nationale et notre cohésion sociale. C’est ce que ressentent sans doute instinctivement une partie des classes populaires en se tournant vers le Front National, outre le caractère protestataire et antisystème de ce parti. Les classes populaires sentent bien que la globalisation ne se fait pas dans leur intérêt car elles vivent ses conséquences détestables tous les jours.
L’analyse des causes de la persistance du chômage de masse, qui persiste dans notre pays, montre bien que c’est l’affaiblissement de la nation qui en est en bonne partie responsable. Nos entreprises pâtissent d’un euro cher, complètement surévalué, qui pénalise le « fabriqué en France » et donc l’emploi en favorisant les importations et en pénalisant nos exportations. Le retour à une monnaie nationale avec une parité raisonnablement compétitive serait un puissant atout pour nos entreprises et nos emplois.
De même, le mode de financement de notre protection sociale, basé sur la production nationale et non la consommation, pèse sur les produits et services que nous exportons et épargne en grande partie tout ce que nous importons. Bref, quand on achète chinois, on achète quelque part le modèle de protection sociale chinois aujourd’hui. Notre système de financement actuel pénalise lourdement l’emploi et même la survie de notre système, mis en concurrence avec des systèmes beaucoup moins avancés. La mise en place d’une Contribution Sociale sur la Valeur Ajoutée permettrait d’isoler notre Sécurité Sociale de la course au toujours moins.
Enfin, le décloisonnement des marchés financiers revient quelque part à construire un bateau où il n’y aurait qu’une seule soute. La moindre voie d’eau quelque part peut couler à tout moment le bateau. La renationalisation des marchés financiers est le seul moyen d’éviter que n’importe quelle crise menace de faire s’effondrer l’ensemble de la planète financière. Nous devons compartimenter les soutes du grand bateau financier planétaire pour stabiliser l’économie mondiale et isoler les pratiques malsaines des bonnes pratiques.
Je crois qu’il y a un immense travail de pédagogie dans la manière de présenter notre attachement à la nation et l’importance qu’elle a pour nous, trop souvent mal compris par nos concitoyens. Il nous revient d’expliquer sans relâche que la nation est le seul moyen de remettre l’économie au service de tous et de reconstruire une cohésion sociale profondément affaiblie par la globalisation néolibérale.
Laurent Pinsolle





Texte intégral de la résolution du Parlement européen

13/09/2010 09:02

Texte intégral de la résolution du Parlement européen


A diffuser le plus largement autour de vous.

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualite/societe/20100910.OBS9641/document-roms-le-texte-integral-de-la-resolution-du-parlement-europeen.html



Sans commentaire.



Commentaire de Anthéa (13/09/2010 12:49) :

Effectivement, sans commentaires !





Des actes, pas des mots !

09/09/2010 21:33

Des actes, pas des mots !


Valeurs Actuelles, jeudi 9 septembre 2010
 
Le président de la République vient pour la énième fois de déclarer la “guerre” à la délinquance. Mais comment la ga­gner sans s’en donner les moyens  ? Pour gagner la “guerre” contre la dé­linquance, il faut passer aux actes.
Il faut d’abord corriger les défaillances de la chaîne pénale qui, concrètement, ne punit plus efficacement les auteurs de vio­lences. Par exemple, le récent jugement de Perpignan, où des délinquants, coupables de violences volontaires sur des policiers, ont été condamnés à six mois de prison dont cinq avec sursis. Un mois de prison ferme pour avoir roué de coups trois agents dépositaires de l’autorité publique, c’est peu cher payé  !
Mais ce n’est pas tout… En vertu d’une récente ré­forme de la loi pénitentiaire, la condamnation à des peines allant jusqu’à deux ans se traduit automatiquement par… une dispense d’incarcération  ! De fait, quand on lit dans la presse que mon­sieur X. a été condamné à dix-huit mois ferme, le dossier est transmis à un juge d’application des peines qui, mettant en pratique la loi, sans la présence de la victime, transformera l’incarcération en une peine alternative de six mois ou moins. Cela signifie que la petite crimina­lité est désormais certaine d’échapper à la prison  ! C’est ainsi que, l’an der­nier, 82 000 peines de prison ferme sont restées inexécutées…
Ensuite, il faut revoir le système français, le plus laxiste du monde, des remises de peine qui, cumulé avec les libérations conditionnelles, permet à un condamné purgeant une peine de dix ans de prison de sortir au bout de quatre ans et demi. Mais encore fau­dra-t-il créer un nombre suffisant de places de prison  : à population équivalente, la Grande-Bretagne en pos­sède 80 000, contre seulement 60 000 en Fran­ce…
Troisièmement, il est impossible de juguler la délinquance tant qu’il ne sera pas mis bon ordre au désordre migratoire européen. Le gouvernement expulse les Roms à grand renfort médiatique, mais il a signé des accords qui leur per­mettent de revenir immédiatement sur notre territoire et d’y res­ter trois mois. Il leur suffit donc de se rendre quatre fois par an dans leur pays pour demeurer les douze mois de l’année chez nous en toute légalité.
Autre enjeu essentiel  : la lutte con­tre les trafiquants de drogue. Depuis la décision de Nicolas Sarkozy de supprimer la “double peine”, la France n’ex­pulse plus les étrangers cou­pables de délits graves. Pour lutter con­tre les trafiquants, il faut rétablir cette possibilité  !
Enfin, bien sûr, il faut revoir d’urgence la gestion des forces de sécu­rité publique, dont les effectifs ont en­core diminué de 3 000 agents l’année der­nière, 10 000 en tout depuis trois ans. Ce n’est pas en vidant les com­mis­sariats que l’on rétablira la paix ci­vile dans les quartiers  !
Plutôt que de chercher à grand bruit à déchoir de la nationalité française une dizaine de délinquants par an – si tant est que cela soit possible –, que le gouvernement fasse son travail et rétablisse enfin l’ordre républicain par­tout où sa politique de trompe-l’œil l’a ­laissé peu à peu compromettre  !
Nicolas Dupont-Aignan, député de l’Essonne et président de Debout la République





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